Des chevaux, des taureaux et des gardians
C'était le 11 novembre aux Saintes Maries de la Mer.
Abrivado : mot provençal signifiant élan, hâte, et qui désignait jadis la conduite des taureaux depuis les pâturages vers les arènes où avaient lieu des courses de taureaux. De nos jours, ce terme désigne une tradition taurine provençale consistant à simuler ces transferts de taureaux en les lâchant dans les rues fermées d'une ville ou d'un village. |
[Wikipedia] : De nos jours les abrivado sont organisées spécialement lors des fêtes locales de nombreux villages et villes des Bouches-du-Rhône, du Gard et de l’Hérault. Les rues sont barrées par des barrières afin d’empêcher les taureaux de s’échapper. Les gardians empêchent les atrapaïre (« attrapeurs » en provençal, figurant les jeunes villageois d'antan) de faire échapper le taureau ; les atrapaïre rivalisent d’adresse et de témérité. Il est même organisé des concours d’abrivado, plusieurs éleveurs y participant et étant jugés sur le nombre de taureaux qu’ils ramènent au bercail. |
Les taureaux sont ainsi conduits sous bonne escorte jusque dans l'arène. |
Puis guidés jusque dans des boxes, avant d'être ramenés en camion jusqu'à leur manade ! |
C'est impressionnant et très dépaysant. La Camargue est un monde à part... |
Eléa et Faustine ont adoré.
Eléa était fascinée par les taureaux qu'elle voulait voir d'aussi près que possible. |
Quant à Faustine, impossible de la décrocher de l'arène avant la fin, elle disait "il est trop chouette ce pestacle !" |